Formation aux Premiers Secours en Santé Mentale – dates nouvelles sessions 2ème semestre 2024 – PARIS
Face au succès de la formation PSSM, deux sessions de deux jours consécutifs sont programmées pour octobre et décembre 2024 et ce pour vous permettre de la planifier dans vos agendas.
Issu du programme Mental Health First Aid (MHFA) crée en 2001 en Australie, cette formation à destination du grand public est validée scientifiquement et mise en œuvre à ce jour dans plus de 20 pays.
QU’EST CE QUE LE SECOURISME EN SANTÉ MENTALE ?
Le programme de Premiers Secours en Santé Mentale (PSSM) permet de former des secouristes capables de mieux repérer les troubles en santé mentale, d’adopter un comportement adapté, d’informer sur les ressources disponibles, d’encourager à aller vers les professionnels adéquats et, en cas de crise, d’agir pour relayer au service le plus adapté.
Il s’inspire de la formation aux premiers secours physiques, mais intègre une logique d’urgence différente : un secouriste en santé mentale devra parfois intervenir à plusieurs reprises pour écouter, rassurer et accompagner la personne concernée vers le soin.
Dans un contexte sociétal de minimisation et de stigmatisation des troubles psychiques, se former aux premiers secours en santé mentale s’inscrit dans une démarche citoyenne. Nous pouvons tous agir à notre niveau !
UNE FORMATION OUVERTE A TOUS
La santé mentale concerne l’ensemble du grand public, puisque les troubles psychiques sont les pathologies les plus répandues : selon l’Organisation mondiale de la santé, un être humain sur quatre souffrira au cours de sa vie soit d’un épisode pathologique, soit d’un trouble persistant. C’est pourquoi la formation aux premiers secours en santé mentale s’adresse à tous.
Cette formation développe une méthode pour apprendre à aider, à laquelle plus de cinq millions de personnes se sont déjà formées dans le monde. En France, le programme a été lancé en 2019 et il ne cesse depuis de se déployer.
L’objectif de l’association aujourd’hui est de mettre en place de nouvelles formations, de mieux en évaluer l’impact, mais aussi et surtout de pouvoir compter sur un nombre toujours plus grand de secouristes formés.